Suis-nous sur les réseaux

Provence

Et si, les produits made in Provence, symboles de notre art de vivre, contribuaient à véhiculer l’image d’une Provence accueillante et touristique ? Voilà, en une question résumée, l’idée de cette collection officielle à marque Provence, lancée dans le cadre du contrat de destination Provence (initié en 2015). En clair : depuis juin 2023, des entreprises diverses et variées, implantées dans le Var, les Bouches-du-Rhône et une partie du Gard, apposent la marque Provence sur leurs produits. « Pour se faire connaître en France et dans le monde, il faut miser aussi sur notre art de vivre » explique-t-on du côté de Provence tourisme et du Comité régional du Tourisme. Chaque acheteur d’un savon, d’une boîte de calissons, d’un parfum, de biscuits découvre un peu plus nos trésors provençaux qui susciteront, à terme, une envie de venir séjourner en Provence. Les sociétés qui participent à cette opération valorisent la destination en proposant des visites d’usines ou d’ateliers, elles racontent le patrimoine en s’appuyant sur l’imaginaire de la région. Les produits sont mis en exergue dans toutes les opérations de promotion à l’étranger et de leur côté, Provence tourisme et le Comité régional du Tourisme encouragent d’autres marques à rejoindre le mouvement, « pour promouvoir une Provence tout à la fois moderne et authentique ».
Produits en vente chez Jog, 1, rue Caisserie (2e arr).

Data from MeteoArt.com
Magazine

Affaire Charial-Wahid : la séparation est totale

wahid freres
Sylvestre Wahid (à gauche, chef cuisinier) et son frère Jonathan Wahid (chef pâtissier), ont quitté Baumanière

Il le dit tout de go : « Je ne me sens pas abattu, au contraire, je me suis libéré ». Ces derniers jours, au terme de plusieurs semaines qu’il dit avoir été « éprouvantes », Jean-André Charial, le propriétaire de l’Oustau de Baumanière (les Baux-de-Provence), a donné définitivement congé à son cuisinier Sylvestre Wahid. « Monsieur Wahid avait dans son contrat une clause d’exclusivité qu’il n’a pas respectée, confesse Charial. Il était donc normal que, renonçant à ses engagements, il parte ». Et Jean-André charial d’évoquer « une confiance trahie » et une certaine déception « car la confiance est cassée, en dépit de toutes les qualités de Sylvestre Wahid, il ne pouvait plus rester à Baumanière ».
Mais que s’est-il donc passé entre les deux hommes ? Charial refuse d’en dire plus : « Une procédure est en cours, je ne veux rien dire, il faut respecter la procédure ». Et voilà la discussion close.
Dans un commentaire laché cette semaine, le site d’information gastronomique atabula.com parle d’un repas servi à Cannes en mai dernier, de toute évidence lors du festival. Que s’y est-il passé ? Par ailleurs, une source proche des deux hommes, nous apprend que Sylvestre Wahid aurait demandé à rester travailler jusqu’en octobre prochain ce que Charial aurait refusé. « Concurrence déloyale », « trahison »… les gens parlent beaucoup dans les rues de Maussane. C’est fou ce que les gens aiment raconter dans ces petits villages de Provence.

lire également nos informations publiées mercredi 18 juin

Ajoute un commentaire

Ecris ici pour poster ton commentaire

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur la façon dont les données de vos commentaires sont traitées.