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Théoule

Dîner pétillant.- Le château de Théoule, joyau de la Côte d’Azur récemment restauré, vous convie à une soirée gastronomique d’exception dans son écrin étoilé, le restaurant Mareluna, dirigé par le chef Francesco Fezza. À cette occasion unique, le Mareluna s’associe à la maison de champagne Charles Heidsieck pour proposer un dîner en six temps, où chaque plat sera accompagné par un champagne soigneusement sélectionné. Cette collab’ mettra à l’honneur le style créatif du chef Fezza et la finesse des cuvées Charles Heidsieck. Un menu signature élaboré en parfaite harmonie
avec les champagnes emblématiques de la
Maison, dans une ambiance feutrée et secrète, à l’image de l’ADN du château de Théoule. Un moment suspendu, au cœur de l’été, pour les
amateurs de haute gastronomie.
Château de Théoule, restaurant Mareluna
Mercredi 23 juillet 2025, à partir de 19h.
Sur réservation uniquement, 04 81 09 50 97.

Principauté de Monaco

Riviera Barbecue.- Avec sa vue imprenable sur la Méditerranée, le Fairmont Monte Carlo offre un cadre parfait pour se détendre et se ressourcer. Alors que l’été bat son plein, l’établissement dévoile son nouveau rendez-vous immanquable : le Riviera Barbecue qui permet de vivre l’expérience monégasque dans une atmosphère relaxante et dynamique à la fois. Chaque dimanche, les convives sont invités à savourer une cuisine ensoleillée autour d’un généreux buffet, où on déguste des entrées, un barbecue de viandes et de poissons grillés à la perfection par les chefs, avant de conclure sur une sélection de desserts raffinés et savoureux. Un Kids club encadré par des animateurs accueille les enfants pour des moments de jeux et d’activités en toute sécurité. Le Riviera Barbecue, c’est aussi une ambiance musicale en live pour ambiancer ces belles heures avec vue panoramique sur la principauté de Monaco.

Fairmont Monte Carlo, 12, avenue des Spélugues, Monte Carlo 98000, Monaco ; +377 93 50 65 00. Riviera Barbecue, tous les dimanches de 12h30 à 16h, à partir de 95 € par personne, 50 € pour les 6 à 12 ans (Kids club avec animatrices et service voiturier inclus).

Les Baux-de-Provence

Joyeux anniversaire Jean-André Charial.- Michel Troisgros, Gérald Passédat et Pierre Gagnaire faisaient partie, il y a quelques jours, des nombreux invités qui ont soufflé les 80 bougies du gâteau d’anniversaire de Jean-André Charial, propriétaire de l’Oustau de Baumanière. « J’ai beau être né la même année que le domaine, en 1945, y vivre à temps plein depuis cinquante-six ans, jamais je ne me lasserai de cette lumière unique, de ces rochers déchiquetés, de ces effluves. C’est le plus bel endroit du monde », a confié le maître des lieux, successeur de Raymond Thuillier, fondateur de l’Oustau.

Bendor-Bandol

Le projet Zannier se précise.– C’est la quotidien La Provence qui l’affirme, le cuisinier Lionel Lévy aurait été approché pour gérer l’offre gastronomique du futur pôle hôtelier de luxe du groupe Zannier, sur l’île de Bendor, au large de Bandol. À 53 ans, le chef voit dans cette installation son « dernier gros challenge. Je l’ai accepté parce que j’aime l’esprit Ricard, qu’on connaît tous à Marseille, et j’aime aussi l’aspect familial du groupe Zannier« .

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6e Arrondissement Marseille Restaurants en Provence

Le 100, table à cœur ouvert chez Meryem Chaouay-Tissir

Meryem Chaouay-Tissir a fondé le restaurant le 100 à Marseille

Un profil libre, une personnalité hors du commun et un petit bout de femme qui s’est construite toute seule. Le parcours de Meryem Chaouay-Tissir est atypique, marqué du sceau de la culture marocaine, son pays natal qu’elle a quitté à 2 mois, pour vivre avec ses parents en Espagne. Aux années de bonheur sous le soleil ibère, suivront les années d’apprentissage de la cuisine, en France, à Metz. A 16 ans, la famille quitte l’Espagne et s’installe dans l’Est de la France. A l’aune de ce déménagement, Meryem décide de consacrer sa vie à la restauration, « et mes parents m’ont donné la liberté en disant : – Tu fais ce que tu veux mais tu devras être excellente’. Mon frère est ingénieur informatique, ma sœur a fait Science-Po et l’Ena… Ils avaient déjà placé la barre haut ». Le 100

En 2021, Meryem Chaouay-Tissir s’installe à Marseille, forte de son passé chez Guy Savoy (Mama Shelter) ou Michel Roth (le Ritz), elle travaille ici et là avant de se décider d’ouvrir sa propre affaire : – Si t’es sincère avec toi même, et moins tu te la joues, eh bien ça va tout seul », analyse-t-elle. Un local à kebab sans relief sur les hauteurs de la rue Breteuil coche toutes les cases : elle le baptisera « le 100 ». « Le 100, c’est emprunté au vocabulaire des d’jeuns et à la chanson de Jul, c’est le sang des veines, celui de la famille ». 

La pastilla de poulet servie au restaurant le 100 à Marseille

« Si t’as pas de contact humain, c’est pas la peine de faire ce métier »

Meryem Chaouay-Tissir

Le décor est planté, Meryem veut notre bonheur et prépare ses plats dans l’instant avec le cœur. Une brioche marocaine (kralch), toastée au beurre anisé s’habille de caviar d’aubergines marocain aux poivrons (zaglouk) et de feuilles de bœuf séché au paprika et crème d’avocat-kiri maison. On craint le grand embouteillage des saveurs, c’est, au contraire, bien rangé, élégant, léger et surprenant de finesse. Suit un tacos de feuile de riz garni de kefta-homos et crème mayo thonalto et parmesan salage à l’anchois. Une assiette rieuse, garnie, qui raconte sa chef avec bonne humeur. Meryem sait qu’on adore sa pastilla et surtout sa version à elle, celle d’un millefeuille poulet-citron confit décor d’oignon caramélisé et épinards crémés chantilly fleur d’oranger. On le dit et répète, la cuisinière tient-là son plat signature, sa recette porte-bonheur, de celles qui convainquent les plus sourcilleux.

Alors, allez-vous réserver votre prochain repas chez Meryem ? Oui si vous aimez la cuisine nord-africaine dans sa vision contemporaine, plus aérienne, moins grasse avec des arômes canalisés. Oui pour l’ambiance qui donne le sourire, appelle à blaguer et cette fraternité qu’on retrouve autour des assiettes et recettes libérées des clichés. Oui parce que Meryem est une belle personne, qui veut nous rendre heureux. Oui pour goûter cette fameuse pastilla et la réinterprétation de l’opéra, un dessert au café et chocolat bien amené et qui renouvelle le genre.

Restaurant Le 100, 168, rue Breteuil, Marseille 6e arr. ; infos au 07 63 73 14 58. Midi 16, 21 et 26 €. Soir, 36 €.

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  • Sacré restaurant… Restaurant marocain revisité, je suis allé avec des incertitudes mais finalement j’étais conquis. Chapeau en tout cas.