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Provence

Et si, les produits made in Provence, symboles de notre art de vivre, contribuaient à véhiculer l’image d’une Provence accueillante et touristique ? Voilà, en une question résumée, l’idée de cette collection officielle à marque Provence, lancée dans le cadre du contrat de destination Provence (initié en 2015). En clair : depuis juin 2023, des entreprises diverses et variées, implantées dans le Var, les Bouches-du-Rhône et une partie du Gard, apposent la marque Provence sur leurs produits. « Pour se faire connaître en France et dans le monde, il faut miser aussi sur notre art de vivre » explique-t-on du côté de Provence tourisme et du Comité régional du Tourisme. Chaque acheteur d’un savon, d’une boîte de calissons, d’un parfum, de biscuits découvre un peu plus nos trésors provençaux qui susciteront, à terme, une envie de venir séjourner en Provence. Les sociétés qui participent à cette opération valorisent la destination en proposant des visites d’usines ou d’ateliers, elles racontent le patrimoine en s’appuyant sur l’imaginaire de la région. Les produits sont mis en exergue dans toutes les opérations de promotion à l’étranger et de leur côté, Provence tourisme et le Comité régional du Tourisme encouragent d’autres marques à rejoindre le mouvement, « pour promouvoir une Provence tout à la fois moderne et authentique ».
Produits en vente chez Jog, 1, rue Caisserie (2e arr).

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Marseille : grand remue-ménage dans les cuisines

cest ouvertC’est l’amie Cécile Cau (So food, so good) qui le révèle dans un post attristé : Ernest Do, alias Hung Do, met la clef sous la porte de son restaurant du boulevard Notre-Dame. L’établissement nourrissait de 6 à 10 convives par soirée et avait accueilli ses premiers hôtes en janvier 2013. On y mangeait des sushis d’une grande finesse mais très onéreux, environ 45-50 €, pour être rassasié. En dépit du prix décerné en 2014 « Fooding du meilleur sushi guide », l’établissement fermera le 30 mai. Toujours selon la blogueuse bien informée, le cuisinier nourrit une passion nouvelle pour le légume et s’apprête à entamer un tour du monde. Dieu sait où il atterrira.
Simple Sushi, 72, bd Notre Dame, 6e ; 04 13 59 15 56.

Décidément, les établissements chouchous du guide Fooding broient du noir : Le Grain de Sel aussi est en vente. Le restaurant fondé en 2011 avait reçu le prix Fooding guide 2012 du meilleur bistrot. Le chef, Pierre Gianetti souhaite prendre un peu soin de lui et a besoin de faire une pause. Quant à son complice de toujours, Olivier Roubaud, il s’apprête à partir exercer en salle à Aix-en-Provence où sa famille conduit quelques affaires et où il souhaite s’installer. Quant à Gianetti, c’est promis juré, il ne veut pas quitter Marseille… Ouf !
Le Grain de Sel, 39, rue de la Paix Marcel Paul, 1er ; 04 91 54 47 30.

A quelques mètres de là, c’est l’Aromat’ qui traverse une période de mutation. Sylvain Robert reste maître chez lui et c’est son ami et associé, Guillaume Bonneaud, qui reprend sa liberté. Les deux hommes se vouent une profonde amitié nourrie d’une estime sans faille mais Guillaume Bonneaud veut prendre le large. Il se murmure qu’il attend le retour sur le continent d’un chef marseillais étoilé pour nouer une nouvelle association. Vous ne voyez pas qui ?
L’Aromat’, 49, rue Sainte, 1er ; 04 91 55 09 06.

Quant à Benjamin Mathieu, il se fait toujours attendre. Marseillais de naissance, formé chez Frérard au Sofitel et chez Charial à Baumanière, il était parti se faire un nom en Ile-de-France. Annoncée pour avril 2015 par le blog A Tabula, l’arrivée de Benjamin Mathieu dans son « neo-bistrot » de la rue Sainte a pris du retard… Ouverture sine die.

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