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Provence

Et si, les produits made in Provence, symboles de notre art de vivre, contribuaient à véhiculer l’image d’une Provence accueillante et touristique ? Voilà, en une question résumée, l’idée de cette collection officielle à marque Provence, lancée dans le cadre du contrat de destination Provence (initié en 2015). En clair : depuis juin 2023, des entreprises diverses et variées, implantées dans le Var, les Bouches-du-Rhône et une partie du Gard, apposent la marque Provence sur leurs produits. « Pour se faire connaître en France et dans le monde, il faut miser aussi sur notre art de vivre » explique-t-on du côté de Provence tourisme et du Comité régional du Tourisme. Chaque acheteur d’un savon, d’une boîte de calissons, d’un parfum, de biscuits découvre un peu plus nos trésors provençaux qui susciteront, à terme, une envie de venir séjourner en Provence. Les sociétés qui participent à cette opération valorisent la destination en proposant des visites d’usines ou d’ateliers, elles racontent le patrimoine en s’appuyant sur l’imaginaire de la région. Les produits sont mis en exergue dans toutes les opérations de promotion à l’étranger et de leur côté, Provence tourisme et le Comité régional du Tourisme encouragent d’autres marques à rejoindre le mouvement, « pour promouvoir une Provence tout à la fois moderne et authentique ».
Produits en vente chez Jog, 1, rue Caisserie (2e arr).

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Masterchef 2015 : Karine aux couleurs de Marseille

La cinquième saison de Master Chef a débuté jeudi 25 juin sur TF1. Les spectateurs ont donc fait connaissance avec les nouveaux candidats de l’émission, dont la marseillaise Karine. Cette spécialiste des boulettes en tout genre raconte son parcours au Grand Pastis.

karine april morisseAlors Karine, que retenez-vous de l’aventure Master Chef ?

C’était une expérience fabuleuse, j’en garde de très bons souvenirs, j’ai pu cuisiner dans endroits merveilleux ! Ce que je retiens, c’est beaucoup de partage avec les candidats, d’entraide durant les épreuves. Je suis venue là pour participer, apprendre, découvrir les coulisses de ce genre d’émission ; j’ai été assez déçue des mesquineries entre certains candidats, moi je ne venais pas pour écraser les autres mais pour participer.

Qu’est-ce qui vous a motivée pour participer à l’émission ?

J’ai toujours eu l’esprit du challenge, je voulais savoir ce que j’étais capable de faire réellement… En 2012, j’avais participé à mon premier concours de cuisine pour le festival de la gastronomie à Châteauneuf-le-Rouge, près d’Aix. C’est le cuisinier Pierre Reboul, par ailleurs membre du jury, qui m’avait coachée. Pour moi, Master Chef, c’est le brin de folie qu’il me fallait pour confirmer mon projet professionnel.

Comment avez-vous vécu les premières épreuves ?

Pour la première épreuve près du Mucem, il faisait très froid. On devait tous prendre une glacière contenant nos ingrédients déjà travaillés. On avait alors 15 minutes pour faire le dressage. Pour ma part, tout mes produits avaient figé, j’ai même dû coller mon flacon d’huile d’olive sur la poitrine pour la réchauffer.
Pour le second test près du Vieux-Port, j’ai quand même révisé mes classiques, j’ai fait ma bouillabaisse froide, mon aïoli revisité et j’ai bossé la pâtisserie parce ce que dans ce domaine je partais avec un sérieux handicap. Lorsque les chefs ont demandé 30 minutes avant la fin de l’épreuve de réaliser une soupe de poissons, j’étais dans mon élément et ça m’a permis de faire la différence avec beaucoup d’autres candidats…

Pour moi, Master Chef, c’est le brin de folie
qu’il me fallait pour confirmer mon projet professionnel »

jury masterchef 2015
Gilles Goujon, Christian Etchebest transfuge de M6 et Yannick Delpech, le jury atout de TF1

Qu’est que cela fait d’être jugée par trois chefs étoilés ?

D’une part, on a une certaine fierté, c’est une chance de faire goûter un de nos plats à Yannick Delpech, Gilles Goujon et Christian Etchebest. Mais c’est aussi beaucoup de pression et d’angoisse, alors quand ils aiment, là, c’est la consécration !

A quel projet professionnel faites-vous allusion ?

Avant de faire l’émission, j’avais dans l’idée depuis un peu plus d’un an de monter un cabanon à boulettes, c’est maintenant chose faite il a ouvert le 10 juin dernier. Je compte sur l’énergie que m’a apportée Masterchef pour le lancer.

D’où vous vient cet amour pour les boulettes ?

Je suis d’origine italienne, pour moi tous les dimanches ce n’était pas la blanquette de veau mais les pâtes aux boulettes et à la sauce tomate. C’est toute mon enfance, je pourrais faire des boulettes à l’infini et vous savez j’ai découvert que tout peut se rouler ! J’ai fait des boulettes de poulet, de risotto aux calamars et au chorizo, des boulettes de sardines à l’aïoli tout est possible essayez vous verrez.

Propos recueillis par Kevin Dachez (photo TF1)

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