Le Puy Sainte Réparade

La chef Hélène Darroze a annoncé à ses équipes le mercredi 29 octobre la fin de sa collaboration avec le château La Coste. Son successeur n’est autre que l’avignonnais Florent Pietravalle. Bonne nouvelle, le chef sera présent en continu sur le site, ce qui n’était pas le cas de Mme Darroze qui, privée du don d’uniquité, devait se partager avec ses obligations londoniennes, au restaurant Hélène Darroze at the Connaught.

Cannes

► Brunch dominical au Fouquet’s Cannes.-  Chaque dimanche, de 12h à 15h30, le Fouquet’s Cannes, au sein de l’Hôtel Barrière Le Majestic, convie les amateurs de brunch à un buffet d’exception. Pour 95 € par personne, les convives profitent d’un buffet généreux accompagné d’une coupe de champagne, de boissons chaudes et d’eaux minérales. Au menu : bar à salades vitaminées, sélection marine (coquillages, cœur de saumon, tarama…), station live cooking dédiée aux œufs, spécialités locales revisitées, charcuteries et fromages d’exception, déclinaisons de mozzarella, et un plat chaud servi à table (viande, poisson ou végétarien). Côté douceurs, le buffet des desserts célèbre les classiques français : Paris-Brest, Saint-Honoré, flans parisiens, babas aux trois parfums, tartes, cakes et viennoiseries maison.
Hôtel Barrière Le Majestic, 10, boulevard de la Croisette, à Cannes. Infos au 04 92 98 77 00. Tarif, 95 €.

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Restaurants en Provence

Le Rubirosa, sur de délicieuses notes italiennes

rubirosaLes années passent et la magie opère toujours dans cette brasserie qui fut tour à tour Comptoir des Panisses, Léonce et aujourd’hui Rubirosa. Si l’équipe a changé, les tables aux plateaux noirs, les suspensions en opaline blanche sagement alignées sur le comptoir et les vitraux en fond de salle demeurent. La déco, plus encore qu’autrefois, joue sur le contraste noir et blanc, suscitant des rêves aux tonalités Années Trente. La carte déroule ses plats vedette comme les paysages défilent à bord d’un coupé Delage D8 en 1938 sur la basse corniche entre Nice et Monaco : escalope milanaise, linguini alla vongole et tagliata de boeuf (parmesan-roquette) délicieusement aillée. A partager, le camembert rôti au miel, les supions persillés et les poireaux mimosa donneront le « la » d’un repas souriant.
rubirosaAu déjeuner, le serveur tient une ardoise aux arômes terriens : croque-Madame à la truffe, polpette burger (boulettes-mozza, frites), filet de boeuf truffe… Il est 13 heures et la brasserie a fait le plein ; ça discute boulot et souvent des éclats de rire ponctuent les conversations. L’oeuf au plat est accompagné d’une purée sauce truffe et brisure de melanosporum. La cuisine a surligné la recette d’huile aromatisée ; on sauce rageusement avec un petit morceau de pain et tant pis pour les usages mais il faut absolument encore prolonger le plaisir. Plus léger mais tout aussi riche en goût, puisqu’arrosé d’un trait d’huile d’olive, le lieu vapeur et ses légumes (poireaux, pommes de terre et carottes) offre une alternative plus aérienne et… féminine.
Alors faut-il y aller ? Oui car il n’y avait plus de brochettes de saint-jacques ; la fin de la saison étant fixée au 15 mai, il faudra faire vite avant la fin de la saison de pêche au 15 mai. Oui pour l’ambiance ; les commerçants, employés et professions libérales qui ont leur serviette ici confèrent au Rubirosa une atmosphère d’entre-soi assez sympa. Oui enfin pour le service qui s’adapte à chaque table, sympa avec les habitués, sérieux avec les repas business, aux petits soins pour les touristes.

23, rue Sainte, Marseille 1er arr. ; infos au 04 91 72 61 10. Plat du jour 13,50 €. Déjeuner : 24-30 € ; dîner : 35 €.

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