Marseille

Conversations tunisiennes.- Sur le fil Insta de Julia Sammut (épicerie L’Idéal), la commerçante star de la rue d’Aubagne publie un texte chaque jour qui raconte ses pérégrinations, réflexions, son amour de la Tunisie et de la transmission des recettes. Chaque jour une histoire… jusqu’aux deux grands rendez-vous : le samedi 7 septembre au déjeuner à l’Idéal pour un menu KoussKouss (35 € autour de la farfouchia tunisienne, un extraordinaire couscous aux fanes de fenouil). Sur réservation au 09 80 39 99 41. Le samedi 7 septembre, au soir, célébration tunisienne pour les amoureux de la Tunisie et ceux qui veulent la découvrir. Rencontre avec Boutheina Ben Salem et Laurence Touitou suivie du Banquet (menu 60€ boissons comprises). Dimanche 8 septembre, retrouvailles sur le marché du Vieux-Port avec un étal au couleurs de la streetfood tunisienne.

Le Capucin en mode KoussKouss.- Jusqu’au 8 septembre, et le samedi 7 septembre en soirée, la brasserie située sur la Canebière, à l’angle de la rue des Feuillants, mettra à l’honneur l’un des plats préférés des français : le couscous. Pour sa 3e participation au Kouss Kouss Festival, l’équipe du Capucin a concocté une recette originale et savoureuse : un couscous à la graine de 2 pains : complet et au levain, collier d’agneau confit aux épices, harissa fumée. Cette variante, riche en saveurs, promet de séduire les plus gourmands. En servant ce plat emblématique, Noël Baudrand met en avant les richesses culinaires de la Méditerranée et souligne l’importance de partager ces traditions gustatives. Le couscous, plat convivial par excellence, est l’occasion de réunir les amis et la famille autour d’une table généreuse. En participant à cet événement, Le Capucin Brasserie s’inscrit dans une démarche de valorisation du patrimoine culinaire et de promotion de la cuisine méditerranéenne.
• Le Capucin, 48, La Canebière, Marseille 1er ; infos au 04 65 58 56 93. Carte et tarifs ici.

Suis-nous sur les réseaux

Marseille

Les un an de Lottie.- Lottie, le restaurant de Charlotte Baldaquin souffle sa première bougie ce 31 août 2024. Grande fête au restaurant le jour même avec DJ @carlala_dj de 20h à 22h, Guillaume Ferroni et ses cocktails sera de la fête et Jade de Juicy fera découvrir ses vins. Petites assiettes de partage. Et si vous ne passez pas le 31/08 pour la kisser, Charlotte sera ravie de vous accueillir les jours prochains.
Lottie, 39 rue de la paix Marcel Paul, Marseille 1er.

Carnet de cave

Gin Bigourdan, déguster la Camargue en mode Arles dry gin

gin bigourdan

On connaissait Arles pour sa féria et ses vestiges antiques et il faudra bientôt compter avec son gin. Le gin Bigourdan, du nom de son créateur, a été embouteillé au mois d’août dernier et le succès qui a accompagné la mise sur le marché des 400 premières bouteilles a de quoi nourrir tous les espoirs. « Je voulais créer un vrai London dry, c’est-à-dire un gin de style anglais avec un cœur classique de genièvre-citron jaune-coriandre et racine d’angélique », explique le jeune distillateur qui a voulu ancrer son spiritueux dans le sable de Camargue en lui associant du thym, de la sauge, de la sarriette et de la verveine. « La finale sur des notes épicées et chaudes de fleurs d’immortelles, de poivre vert et cardamome est très plaisante » assure Thomas.

A ce jour, une seule recette a pris place sur les étagères de la boutique-distillerie, installée à côté du museon arlaten, voisine de la place du forum. Un bel alambic en cuivre rutilant accueille le public : – J’ai pas mal d’envies pour l’avenir, dit Thomas Bigourdan qui confesse un grand intérêt pour les alcools aromatisés. J’aimerais créer des distillations sur un agrume d’hiver, une vodka notamment ».

Thomas Bigourdan s’est installé à Arles en 2018 après un séjour londonien de deux ans : « J’ai toujours travaillé dans la communication pour des entreprises cosmétiques. C’est là-bas que je me suis pris de passion pour le gin en visitant de nombreuses distilleries dont la fameuse Cotswold distillery. Et le distillateur d’établir de nombreuses analogies entre la cosmétique et la distillation des alcools et des gins : – Mon gin, je l’ai construit comme un parfum avec des notes d’attaque de corps et une finale. En fait le gin, c’est simple et compliqué en même temps. Il s’agit d’un alcool aromatisé à la baie de genièvre dans lequel on ajoute ce que l’on veut. C’est de cette absence de contraintes que naît la difficulté à élaborer un produit séduisant ».

Lorsque les mesures sanitaires le permettront, Thomas Bigourdan organisera des séances de dégustation dans le petit jardin attentant à sa boutique avec une volonté : faire vivre son gin. « Ce n’est pas un alcool prétentieux destiné à décorer une étagère. Il est destiné à l’élaboration de cocktails et à être bu ». La plus noble des ambitions.

Gin Bigourdan, 12, rue Frédéric-Mistral, 13200 Arles ; infos au 06 85 03 71 05. Bouteille 50 cl, 37 €.

1 Comment

Ecris ici pour poster ton commentaire

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.