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Principauté de Monaco

Riviera Barbecue.- Avec sa vue imprenable sur la Méditerranée, le Fairmont Monte Carlo offre un cadre parfait pour se détendre et se ressourcer. Alors que l’été bat son plein, l’établissement dévoile son nouveau rendez-vous immanquable : le Riviera Barbecue qui permet de vivre l’expérience monégasque dans une atmosphère relaxante et dynamique à la fois. Chaque dimanche, les convives sont invités à savourer une cuisine ensoleillée autour d’un généreux buffet, où on déguste des entrées, un barbecue de viandes et de poissons grillés à la perfection par les chefs, avant de conclure sur une sélection de desserts raffinés et savoureux. Un Kids club encadré par des animateurs accueille les enfants pour des moments de jeux et d’activités en toute sécurité. Le Riviera Barbecue, c’est aussi une ambiance musicale en live pour ambiancer ces belles heures avec vue panoramique sur la principauté de Monaco.

Fairmont Monte Carlo, 12, avenue des Spélugues, Monte Carlo 98000, Monaco ; +377 93 50 65 00. Riviera Barbecue, tous les dimanches de 12h30 à 16h, à partir de 95 € par personne, 50 € pour les 6 à 12 ans (Kids club avec animatrices et service voiturier inclus).

Les Baux-de-Provence

Joyeux anniversaire Jean-André Charial.- Michel Troisgros, Gérald Passédat et Pierre Gagnaire faisaient partie, il y a quelques jours, des nombreux invités qui ont soufflé les 80 bougies du gâteau d’anniversaire de Jean-André Charial, propriétaire de l’Oustau de Baumanière. « J’ai beau être né la même année que le domaine, en 1945, y vivre à temps plein depuis cinquante-six ans, jamais je ne me lasserai de cette lumière unique, de ces rochers déchiquetés, de ces effluves. C’est le plus bel endroit du monde », a confié le maître des lieux, successeur de Raymond Thuillier, fondateur de l’Oustau.

Bendor-Bandol

Le projet Zannier se précise.– C’est la quotidien La Provence qui l’affirme, le cuisinier Lionel Lévy aurait été approché pour gérer l’offre gastronomique du futur pôle hôtelier de luxe du groupe Zannier, sur l’île de Bendor, au large de Bandol. À 53 ans, le chef voit dans cette installation son « dernier gros challenge. Je l’ai accepté parce que j’aime l’esprit Ricard, qu’on connaît tous à Marseille, et j’aime aussi l’aspect familial du groupe Zannier« .

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Magazine

Spok, la cantine urbaine qui rêve de sortir la gastronomie du sérail

Le même scénario se répète, tous les jours, à la mi-journée. Dès que sonne l’heure du déjeuner, comme autrefois les ouvriers allaient à la gamelle, un flot d’actifs rejoint les « cantines urbaines Spok » telles que les a définies Christophe Juville. De Toulouse à Paris en passant par Rennes, Lyon et Marseille, où tout a commencé en 2008, le fondateur de Spok parle volontiers de son réseau de franchisés, 35 à ce jour, et 50 si tout va bien d’ici 2020-21, comme autant de « bistrots de quartier qui auraient une âme ». Pour insuffler le Spok spirit à sa marque, Juville le passionné va puiser dans le Japon, les architectes et les créateurs, « tout sauf la gastronomie, assène-t-il un rien provocateur. Mon offre c’est un peu plus que l’air du temps, je vais chercher loin les savoir-faire et les approches des autres cultures », dit-il. Sans pour autant renier les codes de la restauration traditionnelle – un chef, des produits frais et des plats du jour – et ceux de la restauration rapide, le pari de Juville vise une offre « créative, saine et savoureuse de prêt-à-manger ».

Spok

Spok et les collab’, une longue histoire ! Après les ramen de papa Kim, l’enseigne est allée chercher les maîtres queux de la cantine parisienne Alf qui s’emparent du Spok Lulli (Marseille, opéra) jusqu’au 27 avril. Aux jours et heures de fermeture de l’enseigne, soit le week-end midi et soir et du mercredi au vendredi soir, Alf met en scène ses menus inventifs à base de produits locaux, des fish & ships au loup bio du Frioul (tempura tradi ou à l’encre de seiche), des frites fraîches, des sauces de leur invention (mayonnaise au café)… 7, rue Lulli, Marseille 1er ; infos au 04 91 55 64 24.
La formule Spok réside dans l’absence de cuisine centrale qui livrerait des plats prêts-à-chauffer dans les franchises. Le magicien, celui qui invente, revisite et trace la ligne éditoriale des menus révisés chaque jour, c’est Kevin. Le chef de cuisine du réseau, met au point les fiches techniques, les recettes comme on disait autrefois, afin que partout en France, le même jour, les plats cuisinés par chaque enseigne soient les mêmes d’une ville à l’autre et répondent aux canons de la marque. « La difficulté c’est que nous ne stockons rien pour ne cuisiner que du frais. Le défi consiste à choisir des fournisseurs de qualité qui puissent nous livrer partout en France et en petites quantités » assure Juville qui, en qualité d’ancien élève de l’école hôtelière de Bonneveine, passe plusieurs heures par semaine conjointement avec Kevin dans la composition des menus.

« Le fait d’être marseillais est un atout et je me revendique plus encore méditerranéen, j’ai toujours baigné dans un univers oriental, confesse Juville, le natif de Félix-Pyat, dans le 3e arr. Je pense que ma ville a encore quelques trains de retard mais paradoxalement, elle est très contemporaine et je n’imagine pas qu’un jour elle soit ringarde. Marseille est une ville sexy mais il faut être juste et reconnaître qu’à Paris, il règne un esprit de compétition qui favorise l’émulation ».
Christophe Juville n’aime pas le terme de « compétition », il préfère celui de collaboration « parce que ça nous enrichit considérablement, on se nourrit de la richesse des autres, le partage nous fait avancer. Ce que nous allons vivre avec ALF (lire encadré) c’est une aventure humaine, on va cohabiter et partager nos vies ». Spok est, de fait, la première enseigne de restauration rapide en France à donner les clefs du bouclard à des cuisiniers nomades… Et être le premier, Juville adore ça.

2020, le virage environnemental de Spok

SpokVoilà un peu moins d’un an que le réseau Spok a pris un virage vert en s’engageant sur une cuisine de saison et uniquement de saison, un plat du jour végétarien chaque lundi, des couverts biodégradables, des emballages recyclés et recyclables, du café de spécialité moulu sur place pour faire la chasse aux capsules et des partenariats pour limiter au maximum le gaspillage alimentaire. « Mais cette année, nous allons pousser le bouchon plus loin, assure Juville qui promet d’éliminer le plastique de tous ses restaurants, d’offrir de véritables alternatives aux packaging à usage unique (gourdes, cabas en coton bio), de proposer un plat du jour végétarien chaque jour, d’installer des poubelles de tri dans chaque restaurant et de récompenser les clients qui choisissent de ne pas prendre de couverts ou de sac en papier et qui apportent leur propre contenant ».

Photo Mona Grid (portrait) et le GP

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