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Taradeau

Rire en Vignes au château Saint-Martin.- Depuis 2014, le festival Rire en Vignes signe, chaque été, une programmation d’exception en pleine nature, dans le cadre bucolique du château Saint-Martin. Résolument intimiste et épicurien, ce rendez-vous de l’humour propose deux soirées où rire et dégustation de grands crus font bon ménage avec la possibilité de déguster in situ les spécialités de plusieurs food-trucks.Déjà présent en 2017, Alex Vizorek sera présent le samedi 26 juillet avec « Un soir avec Alex Vizorek », le samedi 26 juillet. Doté d’un style inimitable et d’un esprit acéré, Alex joue avec subtilité, manie l’absurde, avec lui la culture devient drôle, et chaque spectacle incarne cet humour belge qu’on adore. Le vendredi 25 juillet, c’est la stand-upeuse Marine Leonardi qui prendra le micro. Dans son one-woman show « Mauvaise graine » elle décortique, avec cynisme et humour noir, les contrariétés du quotidien, du couple en passant par la maternité. En un mot : jouissif.
Tarif : 35 € par pers. la soirée, 60 € par pers. pour les deux soirées. Groupe à partir de 10 personnes : 30 € par personne. A partir de 19h30. Château de Saint Martin, route des Arcs, 83460 Taradeau. Résas au 04 94 99 76 76 et en cliquant ici.

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Restaurants en Provence

Avec le taboulé, le Proche-Orient n'a jamais été aussi proche

La cuisine libanaise a ceci de particulier qu’elle donne faim à l’estomac le plus rassasié. Quelques amis et des mezzés à partager et voici qu’une envie subite de dévorer quelques plats mythiques arrive, impossible à contenir. Sur l’ardoise, un roze bel lahma, sorte de riz et vermicelles mélangés à du poulet.taboule plat Ici, seules des noix de cajou l’accompagnent mais à Beyrouth, on l’appelle riz a la djej et on enrichit le plat d’amandes, pignons, pistaches et viande hachée. On peut commander le mechoui dajaje (demi poulet grillé à la libanaise) ou le yaknenette sabonekhe (crème d’épinards aux oeufs) etc. Bien sûr, vous commanderez obligatoirement un taboulé (le vrai, celui avec du persil et quasiment pas de graine) et du homos (purée de pois chiche délayée au tahiné, de la crème de sésame). Tout ceci s’arrose d’huile d’olive bien sûr, sinon, il manque un truc. Voilà pour l’hyper traditionnel mais les mezzés, c’est une kyrielle de préparations tout aussi plantureuses les unes que les autres : caviar d’aubergines, falafel, soudjouk (ça c’est arménien comme le pastourma), des feuilles de vigne, des sambousik, kebbeh boulettes etc. L’idée consiste à en commander plein et à les partager mais pour être libanais, ce restaurant doit être généreux et ces mezzés sont assez minuscules. Il faut grossir les portions sinon la fête est triste. Le service, pour être sympa reste assez amateur, avec des lenteurs entre les entrées et les plats, certains étant servis bien avant d’autres, obligeant la moitié de la table à regarder l’autre finir son assiette. Le rapport qualité-prix est convenable et cette adresse donne une idée correcte de ce que vous pourriez manger à Beït Mery, Achrafieh, Gemmayzé ou Hamra (la rue rouge)… Attention cependant aux quantités !

Le Taboulé, 26,rue Sainte, Marseille 1er arr. ; infos et résas au 09 67 09 45 35.
Formule midi 13 € (2 mezzés, plat du jour, desserts) ; carte 15-20 €.

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