Saint-Cyr-sur-Mer

Escapades du vin de Bandol.- L’événement  organisé par Florent Osty, patron de l’agence Act Event (qui se déroulera les 6, 7 et 8 juin prochain) se présente sous les meilleurs auspices. Avec un taux record d’inscriptions, soit plus de 1 810 participants, Florent se réjouit et peut déjà rêver à une brillante 15e édition… en 2026.

Suis-nous sur les réseaux

Taradeau

Rire en Vignes au château Saint-Martin.- Depuis 2014, le festival Rire en Vignes signe, chaque été, une programmation d’exception en pleine nature, dans le cadre bucolique du château Saint-Martin. Résolument intimiste et épicurien, ce rendez-vous de l’humour propose deux soirées où rire et dégustation de grands crus font bon ménage avec la possibilité de déguster in situ les spécialités de plusieurs food-trucks.Déjà présent en 2017, Alex Vizorek sera présent le samedi 26 juillet avec « Un soir avec Alex Vizorek », le samedi 26 juillet. Doté d’un style inimitable et d’un esprit acéré, Alex joue avec subtilité, manie l’absurde, avec lui la culture devient drôle, et chaque spectacle incarne cet humour belge qu’on adore. Le vendredi 25 juillet, c’est la stand-upeuse Marine Leonardi qui prendra le micro. Dans son one-woman show « Mauvaise graine » elle décortique, avec cynisme et humour noir, les contrariétés du quotidien, du couple en passant par la maternité. En un mot : jouissif.
Tarif : 35 € par pers. la soirée, 60 € par pers. pour les deux soirées. Groupe à partir de 10 personnes : 30 € par personne. A partir de 19h30. Château de Saint Martin, route des Arcs, 83460 Taradeau. Résas au 04 94 99 76 76 et en cliquant ici.

Cabasse

Gavoty en queue de pie.- La 12ᵉ édition du concert de musique classique au domaine Gavoty est programmée le vendredi 19 juillet 2025 à 19h pour une soirée qui promet d’être exceptionnelle. Cet événement au cœur de la Provence varoise réunira des musiciens de l’orchestre philharmonique de Radio France pour une soirée sous le signe des grands classiques. Le programme inclut notamment des œuvres de Haendel, Mozart, Beethoven et Rossini, offrant une expérience musicale unique. Après le concert, Roselyne et Virginie Gavoty proposeront une dégustation de grands millésimes du domaine Gavoty, accompagnée d’un buffet raffiné, pour prolonger ce moment unique.
• Domaine Gavoty, quartier Candumy, 83340 Cabasse ; infos et inscriptions au 04 94 69 72 39.
Data from MeteoArt.com
En direct du marché

Le yéti, c’est le tube de tous nos étés

yéti

La tension monte dans cette usine de la zone industrielle de la Courtine, aux portes d’Avignon. Avec le mois d’avril c’est la saison du yéti qui débute et l’abominable homme des glaces s’apprête à conquérir le monde. « On vend des yétis partout en France, en Europe et en Asie, révèle Pierre Sorin en charge de la communication de cette entreprise fondée par deux frères, Didier et Thierry Chehovah, en 1989. Ce qui représente plus de 11 millions de yétis commercialisés chaque année ».
Il ne faut, parfois, pas chercher bien loin, les clés de la réussite. A l’origine du succès des Yétis, il y a une recette des plus simples : de l’eau, du sirop et un peu de glucose. « Nous n’utilisons ni colorant ni arôme de synthèse, tout est naturel, promet Sorin qui assure que ces choix de la première heure, ne souffrent aucune entorse aujourd’hui encore ».

Parmi les goûts plébiscités, le citron, la framboise, la menthe, l’anis et le cola tiennent la corde chez les jeunes consommateurs. Forte du succès de son yéti, Yétigel a incité ses créateurs à imaginer une gamme de glaces à l’eau, proposées en bâtonnets, et la naissance d’une gamme premium et bio, baptisée « les Lavandines ». « Il s’agit de glaces en bâtonnets là encore confectionnées à base d’une haute concentration en fruits », dit le chargé de com’, un peu à l’instar de la voie tracée par la marque marseillaise Emkipop, « les toppings en moins », modère Sorin.

yéti

Derrière le succès de Yétigel, il y a le travail d’une équipe de 15 personnes, de la fabrication à la comptabilité, du marketing à la force de vente.  Et la grande force de la marque s’appuie sur une idée : la vente à température ambiante. Le client n’a plus qu’à oublier ses yétis au congélateur quelques heures avant de les déguster ; un geste qui limite les coûts de distribution et de mise en vente. Cette stratégie permet de les commercialiser à petit prix, de 3 à 4 euros la boîte de 24 sucettes glacées à 2,99 € (chez Carrefour par exemple).

Petite entreprise est déjà grande et Yétigel fait désormais partie d’un groupe composé d’une branche immobilière par ailleurs propriétaire du château de Clary qui vient de rentrer, voilà quelques mois, dans le giron de la famille Chehovah. Sise à Roquemaure, dans le Gard, la propriété continuera à produire du vin et accueillera des événements privés. Et pour demain ? Le petit monstre bleu, mascotte de la marque réfléchit à remplacer le plastique de son mythique yéti pour un emballage plus respectueux de la nature et sans impact sur l’environnement : – L’équipe recherche et développement est sur le projet et travaille dur… », confie Pierre Sorin. Un nouveau défi.

Ajoute un commentaire

Ecris ici pour poster ton commentaire

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur la façon dont les données de vos commentaires sont traitées.