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Taradeau

Rire en Vignes au château Saint-Martin.- Depuis 2014, le festival Rire en Vignes signe, chaque été, une programmation d’exception en pleine nature, dans le cadre bucolique du château Saint-Martin. Résolument intimiste et épicurien, ce rendez-vous de l’humour propose deux soirées où rire et dégustation de grands crus font bon ménage avec la possibilité de déguster in situ les spécialités de plusieurs food-trucks.Déjà présent en 2017, Alex Vizorek sera présent le samedi 26 juillet avec « Un soir avec Alex Vizorek », le samedi 26 juillet. Doté d’un style inimitable et d’un esprit acéré, Alex joue avec subtilité, manie l’absurde, avec lui la culture devient drôle, et chaque spectacle incarne cet humour belge qu’on adore. Le vendredi 25 juillet, c’est la stand-upeuse Marine Leonardi qui prendra le micro. Dans son one-woman show « Mauvaise graine » elle décortique, avec cynisme et humour noir, les contrariétés du quotidien, du couple en passant par la maternité. En un mot : jouissif.
Tarif : 35 € par pers. la soirée, 60 € par pers. pour les deux soirées. Groupe à partir de 10 personnes : 30 € par personne. A partir de 19h30. Château de Saint Martin, route des Arcs, 83460 Taradeau. Résas au 04 94 99 76 76 et en cliquant ici.

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Le Libala ferme… et déménage rue Francis-Davso, on s’y retrouve en janvier !

Libala
Mathilde et Hugues : « On ferme pour mieux rouvrir »

Ce n’est qu’un au-revoir ! Le Libala ferme ses portes et servira ses derniers clients, place de Rome (Marseille 6e), ce vendredi 25 novembre… Une fermeture qui n’en est pas une puisque le Libala rouvrira ses portes le 16 janvier 2023… au 10, rue Francis-Davso. « On garde la même identité, ça se résume à un simple déménagement, rassure Hugues Mbenda, le chef-propriétaire de l’enseigne. Nous continuerons à accueillir nos clients pour le déjeuner, avec de la street food lunch, du lundi au samedi et nous proposerons un brunch le dimanche ».
Au-delà du déménagement, et de l’augmentation de la capacité d’accueil, le Libala à midi changera de nom le soir ; il se transformera en restaurant dont la carte sera teintée des influences des produits et recettes de l’enfance du chef né au Congo et qui s’est installé en France à 9 ans. « Le Libala proposera une street food lunch au déjeuner, des repas certes travaillés mais aux accents africains pour 15 €. Le soir, j’animerai une carte bistronomique africano-française », détaille encore Hugues Mbenda.

« Je travaille des produits locaux, frais et de saison ; je veux infuser mes souvenirs d’enfance dans la cuisine que j’ai apprise ici. Ma cuisine a un pied en France et l’autre au Congo »

Hugues Mbenda, le Libala

En soirée, le Libala s’appellera le Kin, discret hommage à Kinshasa, la capitale aux quelque 16 millions d’habitants et ville natale du chef. « Ma cuisine est celle de l’Afrique centrale, cousine de celles du Bénin ou de l’Angola. On utilise beaucoup de manioc, de haricots, de la banane plantain. Nous nous sommes un peu laissé dépasser en notoriété par les cuisines subsahariennes avec des plats comme le poulet yassa, le tiep bou dien sénégalais ou le mafé qui n’appartiennent pas à mon univers », raconte Hugues Mbenda.
De feu sa maman, le chef Mbenda a gardé l’image d’une femme qui « cuisinait beaucoup. Elle tenait un resto de rue et moi, tout gosse, je l’ai toujours suivie, j’ai beaucoup appris en la regardant faire ». Désormais, le cuisinier se penche sur Youtube et regarde ces mamans qui perpétuent les gestes traditionnels afin de ne rien perdre de son patrimoine. « Jusqu’à 27 ans, je vibrais pour les cuisines française et asiatique, pour les étoiles et les guides. Mon voyage pèlerinage au Congo m’a bouleversé car il m’a reconnecté au pays, je ne me pensais pas capable d’un tel coup de cœur… Depuis, je rêve d’y ouvrir une école hôtelière ».

« J’ai grandi avec une cuisine de plats en papillotes de feuilles de banane, très végétale. Finalement pauvre en viandes et où le poisson, souvent séché, est utilisé comme un condiment »

Accompagné de Mathilde Godart, en qui le chef voue une totale confiance, Hugues Mbenda se prépare à un court séjour de  deux semaines à Kin (Kinshasa, NDLR) avant de revenir à Marseille pour suivre les travaux du futur restaurant de la rue Francis-Davso. « Quand je suis arrivé à Marseille, je ne connaissais rien de cette ville et de ses habitants. C’est l’Orphéon, ma première adresse, qui m’a connecté à la ville, grâce à sa cuisine ouverte et ce comptoir où venaient dîner les clients… J’adore cette ville ».

Le Libala, 10, rue Francis-Davso, Marseille 1er, ouverture le 16 janvier 2023 et, le 1er février 2023, ouverture en soirée du Kin.

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